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- expo : la collection Pierre Fabre présentée pour la première fois à Castres, Lavaur et Sorèze (jusqu'au 6 octobre)

le  02/03/2024   au musée du Pays de Cocagne, au musée Goya et à la cité de Sorèze

Mise en scène de Paul Ruffié, Musée du Pays de Cocagne, Joëlle Arches, Musée Goya, et Elodie Gomez-Pradier, Cité de Sorèze avec des tableaux écrit par ou plutôt proposé par Paul Ruffié, Joëlle Arches et Elodie Gomez-Pradier


Le Musée Goya à Castres, Le Musée du Pays de Cocagne à Lavaur et la Cité de Sorèze présentent la collection Pierre Fabre, "Visions Plurielles", du 2 mars au 6 octobre 2024 (une exposition inédite en partenariat avec les Laboratoires Pierre Fabre).

Pierre Fabre (1926-2013) a marqué sa région natale de son empreinte de pharmacien et d’entrepreneur passionné et amoureux de son territoire. Il porta toute sa vie un vif intérêt aux artistes de sa région et constitua au fil des années une vaste collection de plusieurs centaines d’œuvres d’arts et d’objets anciens, révélés pour la première fois au public.

À l’occasion du 10ème anniversaire du décès de leur fondateur visionnaire, les Laboratoires Pierre Fabre s’associent au Musée Goya à Castres, au Musée du Pays de Cocagne à Lavaur et à la Cité de Sorèze, pour présenter au public une sélection d’œuvres provenant de cette collection personnelle jamais exposée.

L’exposition rendra un vibrant hommage à cet aspect peu connu de la personnalité de Pierre Fabre. Engagé en faveur de la création et de la culture, Pierre Fabre s’est attaché tout au long de sa carrière à soutenir et promouvoir les musées de sa région en accompagnant de très nombreuses manifestations et en apportant un soutien financier pour l’enrichissement des collections publiques.

Pierre Fabre a constitué sa collection au gré des rencontres et des opportunités, loin des modes et tendances d’une époque ou des grands courants artistiques. L’exposition "Visions Plurielles" proposera un parcours dans trois musées tarnais que Pierre Fabre fréquentait régulièrement, avec la volonté de partager les affinités artistiques d’un homme hors du commun.

Passionné par la nature, la botanique et la pharmacopée, Pierre Fabre a toujours placé l’humain au coeur de ses préoccupations. Le parcours d’exposition retrace justement de manière intime, ce qui animait Pierre Fabre, comme une ode à la vie.

-Informations pratiques :
Exposition du 2 mars au 6 octobre 2024
> 02.03 / 14.04.24 • Musée du Pays de Cocagne - Lavaur
> 14.03 / 09.06.24 • Musée Goya - Castres
> 08.06 / 06.10.24 • Cité de Sorèze - Sorèze

*Le parcours d’exposition débutera au Musée du Pays de Cocagne, du 2 mars au 14 avril avec une sélection de paysages de peintres tels que Yves Brayer, André Regagnon ou encore Gaston Balande. Qu’il s’agisse de paysages tarnais, de courses hippiques ou de scènes de rue, c’est une balade lumineuse qui rythmera la chapelle du musée à travers la présentation d’une soixantaine de peintures et dessins.

*À Castres, le Musée Goya dévoilera du 14 mars au 9 juin, des artistes ayant principalement travaillé sur les thèmes du portrait et de la nature morte en écho aux collections du musée et plus particulièrement à l’Autoportrait aux lunettes de Goya (vers 1800, huile sur toile). La sélection rassemblera des œuvres de Yan Pei-Ming, Suzanne Valadon, Bernard Buffet, Georges Artemoff, Lucie Bouniol, Yves Brayer, José de Palmeiro, mais aussi Henri de Toulouse-Lautrec, grâce au prêt exceptionnel de deux œuvres du musée éponyme d’Albi, acquises grâce au mécénat des Laboratoires Pierre Fabre.

*Du 8 juin au 6 octobre, la Cité de Sorèze abordera une toute autre thématique : la pharmacopée et le végétal ! Curiosité pour le scientifique et source de bienfaits pour le pharmacien, le végétal n’était pas pour Pierre Fabre qu’une affaire professionnelle. Bien au contraire, il constituait une véritable passion que révèlent nombre d’objets de sa collection. L’exposition proposera de découvrir près de cent-soixante pièces inédites. Un premier ensemble présentera la relation étroite entre la botanique et l’Art nouveau à travers les verreries d’Émile Gallé, de René Lalique et Daum. Les faïences destinées à la pharmacopée seront assemblées dans un second temps mettant l’accent sur le double regard entre le végétal motif artistique et le végétal médicinal contenu dans les pots. Un cabinet d’apothicaire occupera le dernier espace. Le visiteur sera accueilli par Le Pharmacien de Charles Liozu (huile sur toile, 1893).
Tout autour, une brève histoire du pot à pharmacie côtoiera des instruments scientifiques.



 
 
 
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