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- prix : Prix de la Brasserie Barbès – le prix qui met à l’honneur la musique dans la littérature avec 7 livres en compétition

le  21/05/2019  





La Brasserie Barbès est fière d'annoncer la deuxième édition de son prix littéraire présidé par Juliette Armanet. Ce Prix récompensera le 21 mai prochain le meilleur livre lié au monde de la musique ou s'en inspirant.

-De la musique, des mots et du style :
Trois références qui auront toute leur importance ce mardi 21 mai 2019 avec le Prix de la Brasserie Barbès. Etablissement à l’emplacement unique au coeur du 18ème arrondissement, la Brasserie Barbès rend hommage aux grands prix littéraires parisiens, la touche « Barbès » en plus. Car au-delà de la belle prose, ce prix récompensera l’auteur(e) de la meilleure oeuvre littéraire s’inspirant de l’univers de la musique.

-« Jewish Gangsta », premier livre récompensé par le Prix Barbès :
Choisi parmi une sélection de 7 ouvrages mettant la musique à l’honneur, le jury, présidé par Antoine de Caunes, aura tranché le soir-même de l’évènement en faveur de « Jewish Gangsta » de Karim Madani (Éditions Marchialy). Lors de la première édition en juin 2018, le lauréat a reçu devant plus de 250 invités un chèque de 2 000 euros ainsi qu’une assiette sérigraphiée à son nom. Une copie de cette assi¬ette est accrochée sur l’un des murs de la Brasserie Barbès.

-Le 18ème arrondissement, fief des artistes parisiens :
Ce prix s’inscrit dans une dynamique de valorisation d’un quartier parisien populaire et depuis toujours très lié au monde de la musique. « Le 18ème arrondissement a toujours été le fief des artistes, des labels et des studios d’enregistrement. Et pourtant, dans les faits, on ne parle que de la rive gauche lorsqu’il s’agit de culture… Pourquoi Saint-Germain-des-Près serait plus littéraire que Barbès-Rochechouart ou Château Rouge ? » - Jean Vedreine

-Juliette Armanet, présidente du jury
Pour contribuer au renouveau de quartiers parfois sous-estimés que le Prix de la Brasserie Barbès s’est articulé autour d’un jury formé de personnalités du monde de la littérature et de la musique. Présidés par Juliette Armanet, auteure, compositrice et interprète, et dont le premier album intitulé Petite Amie a été nommé « Album révélation de l’année » en 2018, les 11 membres du jury remettront le 21 mai 2019 son prix doté de 2000€ au gagnant.
*Le jury sera composé de Juliette Armanet, Gaspard Augé, Thomas Baumgartner, Boris Bergmann, Regina Demina, Sophia Hocini, Simon Johannin, Caroline de Maigret, Léonie Pernet, Kiddy Smile, Georgina Tacou.

-Sélection littéraire - les 7 livres en compétition :
*ENCORE PLUS DE BRUIT de MAUD BERTHOMIER :
Retour sur les plus grands critiques rock américains (de Lester Bang à Nick Toshes) et leur écriture. Maud Berthomier à travers une quête inédite interroge les liens entre écriture et musique. Pour cela elle recueille les témoignages de tous ceux, qui ont façonné l’histoire mythologique du rock.

*ON NE VIT QU’UNE HEURE de DAVID DUFRESNE :
Une virée avec Jacques Brel. De Brel, on sait tout, ça ronronne au salon. Brel mérite mieux. Il mérite d’être bousculé comme lui-même défonçait la scène ; sinon, à quoi bon une nouvelle pièce à son Olympia ?

*GIRLS ROCK de SOPHIE ROSEMONT :
Quand on est une fille, on nous apprend que la seule manière d’avoir le pouvoir d’une rockstar, c’est d’être une groupie, de montrer nos seins et d’être choisie pour la nuit. On nous apprend que la seule manière de réussir passe par les hommes. C’est un mensonge.” C’est par ces mots de Kathleen Hanna, que la journaliste Sophie introduit Girls Rock.

*LA MÉLODIE SANCTUAIRE de ARNAUD GAUTHIER :
Premier roman, singulier, qui même sous forme d’un drôle de polar, une course poursuite vers la quête de la musique absolue en nous comptant les aventures de la rock star Alex Grant Zyler.

*FAIRE DANSER LES GENS de FRED RIESTER :
Je suis le plus célèbre des inconnus. Je travaille avec plaisir pour les autres sans chercher leur gloire. Et je n’ai pas quitté le Nord comme jamais je ne renierai ma musique. Il n’y aurait pas d’autre façon de se trahir. De se mentir. De se tuer. J’ai subi neuf cancers et je ne suis plus de traitement.

*BERNARD ESTARDY, LE GÉANT de JULIE ESTARDY :
Le 18ème arrondissement. Les mythiques studio CBE et Bernard Estardy, musicien, producteur, aviateur de plus de deux mètres et au caractère bien trempé qui façonna les tubes des années 60 jusqu’aux années 80.

*SERGENT PAPA de MARC CITTI :
Comédien à la carrière essoufflée, Mathieu tente de renouer avec son fils Antoine, musicien prodigieux. Au rythme des tâtonnements de ce père absent se découvrent la tendresse prudente et la violence sourde des sentiments.



 
 
 
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