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- prix : Prix Vendredi 2020 - le lauréat est...

le  01/12/2020  



La remise du Prix Vendredi aura finalement lieu le 1er décembre. Pour rappel, c'est le premier prix national de littérature adolescente créé en 2016 pour valoriser le dynamisme et la qualité de création de la littérature jeunesse contemporaine. Le Prix Vendredi récompense, chaque année, un ouvrage francophone, destiné aux plus de 13 ans. Il est doté d’un montant de 2.000 euros grâce au soutien de la Fondation d’Entreprise La Poste.

-Dix titres restent en lice :
Historique, romantique, dramatique, haletant, aventurier... Découvrez la sélection des 10 titres en lice pour le prix Vendredi 2020:

*Âge Tendre, Clémentine Beauvais, Sarbacane
*Alma, le vent se lève, Timothée de Fombelle, Gallimard Jeunesse
*Et le désert disparaîtra, Marie Pavlenko, Flammarion
*L’Attrape-Malheur - Entre la meule et les couteaux, Fabrice Hadjadj, La Joie de lire
*L'âge des possibles, Marie Chartres, l’Ecole des loisirs
*Les derniers des branleurs, Vincent Mondiot, Actes Sud Junior
*Sans armure, Cathy Ytak, Talents Hauts
*Soleil glacé, Séverine Vidal, Robert Laffont
*Tenir debout dans la nuit, Eric Pessan, l’Ecole des loisirs
*Touche-moi, Susie Morgenstern, Thierry Magnier

Pour cette nouvelle édition, 38 maisons d’édition avaient proposé un titre de leur choix au jury du Prix Vendredi, fidèle au poste, composé de Michel Abescat (Télérama), Raphaële Botte (Mon Quotidien ; Lire), Philippe-Jean Catinchi (Le Monde), Françoise Dargent (Le Figaro), Marie Desplechin (auteure), Sophie Van der Linden (auteure et critique littéraire), et Nathalie Riché (critique littéraire, Allonz’enfants).

Le Prix Vendredi 2020 sera remis à Paris le 2 novembre 2020 au grand hôtel parisien Le Cinq Codet, sous réserve du contexte sanitaire à cette date.
Premier prix national de littérature adolescente créé en 2016 pour valoriser le dynamisme et la qualité de création de la littérature jeunesse contemporaine, le Prix Vendredi récompense, chaque année, un ouvrage francophone, destiné aux plus de 13 ans. Il est doté d’un montant de 2.000 euros grâce au soutien de la Fondation d’Entreprise La Poste.

-Le lauréat 2020 :
En ce 1er décembre, le jury du Prix Vendredi est heureux de vous annoncer le lauréat de cette quatrième édition : VINCENT MONDIOT pour « Les Derniers des Branleurs » - Éditions Actes Sud junior

Deux mentions spéciales ont été attribuées à Cathy Ytak pour Sans armure (Éditions Talents Hauts) et Éric Pessan pour Tenir debout dans la nuit (Éditions L’école des loisirs).

-Les mots du jury pour le lauréat Vincent Mondiot, Les Derniers des Branleurs, Éditions Talents Hauts :
« Vincent Mondiot, qui avait reçu une mention du prix Vendredi en 2018 pour son premier roman Nightwork, vient confirmer la singularité de son talent avec Les Derniers des Branleurs, texte à la construction magistrale.
D’une forme inventive, et d’une écriture précise et insolente, le roman ne cesse de surprendre. Les anti-héros, traités avec une rare justesse tant dans leurs caractères que dans leur langage, se révèlent au long d’un récit qu’on ne lâche pas avant de l’avoir terminé. Les refus et les désenchantements de l’adolescence sont traités sans complaisance, avec un humour qui ne se dément pas. ».

Les mots du jury pour Sans armure, Cathy Ytak, Éditions Talents Hauts :
« Porté par une écriture puissante et généreuse, ce bref roman peint la violence du sentiment amoureux avec une grande puissance émotionnelle. Cathy Ytak écrit « sans filtre », mais toujours avec sensibilité et justesse. Rien n’est convenu dans cette approche de la passion, dont l’une des héroïnes est porteuse d’un trouble du spectre autistique. À la manière d’une éducation sentimentale contemporaine, Sans Armure interroge l’amour, ses aveuglements, ses révélations. ».

Les mots du jury pour Tenir debout dans la nuit, Éric Pessan, Éditions L’école des loisirs :
« Une héroïne traverse seule une longue nuit tumultueuse à New York, dans un roman haletant qui s’apparente au roman d’initiation – et évoque par réminiscences l’errance du héros de L’Attrape-Cœur (J. D. Salinger). En prise avec les questions et les colères de son époque, Éric Pessan donne vie à des personnages attachants sans perdre de vue le regard et la voix de son héroïne. Servi par une écriture impeccable, par une construction tenue, il aborde la perte de l’innocence et la violence du
temps, tout en ouvrant grand les portes vers les engagements et les résiliences de l’âge adulte. »



 
 
 
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