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- livre : L’effet Mandela de Henri-Alain Roig chez 9 éditions (ainsi que sur les plateformes de diffusion Electre et Dilicom et chez les libraires)

le  27/03/2018  



Vous connaissez sûrement les films qui ont été tournés sur l’histoire de Nelson Mandela et qui se sont inspirés de sa vie (Goodbye Bafana en 2007 ; Invictus en 2009 ; Winnie en 2011 ; Mandela, un long chemin en 2013), mais sans doute moins l’après Mandela : c’est justement ce qu’essaye de nous raconter ce livre !

Pourquoi tant de personnes sont persuadées que Nelson Mandela est mort en prison en 1990 ? D’où vient cette information ? Qu'est-ce-que l'effet Mandela ? Est-ce une fake news, un souvenir ou bien une réalité, un fait ayant réellement existé, l’embryon d’une vérité que l’on nous cache ?
Le pays est à feu et à sang dès que la rumeur se propage. Chaque parti fourbit ses armes, chaque ambition s’aiguise et veut sa place dans l’histoire prochaine de l’Afrique du Sud. Et tous ont peur de l’avenir qui s’annonce…
En 2017, Abel Bach, un jeune homme à la vie bien rangée, plus porté sur les nuits parisiennes que les conflits mondiaux, va être embarqué, par hasard et malgré lui, dans le tourbillon de ce récit. Sa vie sera définitivement transformée. Mais est-ce vraiment un hasard ou le début d’une réponse à l’énigme de l’Effet Mandela et à ses différentes interprétations ? Ce roman de 290 pages, mélange d’histoire (celle de l’Afrique du Sud), de thriller et de fantastique, est diablement actuel et nous entraîne dans la tourmente d’une révolution bien réelle dont le scénario n’était pas joué d’avance… Même vingt-huit ans plus tard !

L’Effet Mandela résonne comme un hommage au grand homme pour les 100 ans de sa naissance.

-L’auteur : H. Alain ROIG est auteur/compositeur chez Apache avec Michel Berger et France Gall dans les années 80, ensuite designer sonore dans les années 2000, puis communicant jusqu’à ce jour. Amoureux de l’Afrique du Sud lors d'un séjour chez l'habitant, de ses rencontres comme de ses paysages, de son peuple comme de son histoire, il nous transmet son obsession (le troublant « effet Mandela »), partagée entre le silence du Karoo et les riffs rageurs d’un Ian Hunter.



 
 
 
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